Besoin d'aide pour choisir ce que vous allez voir au Pink Screen ? Soizic, l'une des organisatrices du festival, vous a préparé le travail.
Voici sa sélection "girly" et "lesbiennes" :
"Le Pink Screens Film Festival a commencé ce jeudi 8 novembre (www.pinkscreens.org pour le programme complet) , et voici autant de raisons de ne pas le rater !
Si vous n'avez pas encore pris vos places pour ce festival (attention, certains films sont toujours presque « sold out » en prévente), voici un aperçu -subjectif- des films filles et lesbiens de cette édition.
- Francine, peut-être le plus beau film du festival cette année. Avec Melissa Leo (déjà récompensée d'un oscar) qui incarne une marginale tout juste sortie de prison qui essaie de trouver sa place dans le monde « du dehors ». Certaines scènes sont juste à nous couper le souffle et nous parlent profondément. Une expérience unique dans laquelle se laisser plonger...
- Call me Kuchu est un autre film qui nous prend en plein cœur : en plus d'être un documentaire très bien documenté sur la vie (et l'assassinat) d'un activiste gay ougandais, David Kato, Naome Ruzindana sera présente pour témoigner de son propre engagement, et de pourquoi et comment ses ami-e-s ont risqué-e-s leur vie à défendre les droits des LGBT en Ouganda. Universel.
- Frauensee, LE film allemand de cette édition. Un couple, la quarantaine, se retrouve à héberger un couple de jeunes lesbiennes en vacance. De quoi bousculer l'ordre établi ? Un film fait de tensions et désirs, 100% lesbien, avec une mise en situation – invitante mais pas si simple à gérer!- à ne pas manquer!
- Mosquita y Mari : une comédie romantique faisant mouche, sur le premier amour de Mosquita, fille et élève modèle. Cela vous rappelle quelque chose ?
Et n'oubliez pas la séance de courts lesbiens (« and the going is good », dont des histoires de chats – lesbiennes obligent ! - mais aussi de fantômes amicales nous susurrant « you're not alone »), ainsi que l'exposition mettant en avant deux artistes lesbiennes de Berlin et Paris (dont Emilie Jouvet de "Too much pussy") et bien sûre la Pink Night, une occasion de rencontrer de nouvelles personnes et de danser aux sons notamment de Lady Jane (Cat club) et Delphine van Kaatz (Mon cul , Ta praline).
Tout ça en plus de partager de bons moments cinématographiques, de discuter et de boire de bonnes bières pas chères. Que demander de plus ?
Alors n'hésitez pas à faire suivre, ni à réserver vos tickets."
Voici sa sélection "girly" et "lesbiennes" :
"Le Pink Screens Film Festival a commencé ce jeudi 8 novembre (www.pinkscreens.org pour le programme complet) , et voici autant de raisons de ne pas le rater !
Si vous n'avez pas encore pris vos places pour ce festival (attention, certains films sont toujours presque « sold out » en prévente), voici un aperçu -subjectif- des films filles et lesbiens de cette édition.
- Francine, peut-être le plus beau film du festival cette année. Avec Melissa Leo (déjà récompensée d'un oscar) qui incarne une marginale tout juste sortie de prison qui essaie de trouver sa place dans le monde « du dehors ». Certaines scènes sont juste à nous couper le souffle et nous parlent profondément. Une expérience unique dans laquelle se laisser plonger...
- Call me Kuchu est un autre film qui nous prend en plein cœur : en plus d'être un documentaire très bien documenté sur la vie (et l'assassinat) d'un activiste gay ougandais, David Kato, Naome Ruzindana sera présente pour témoigner de son propre engagement, et de pourquoi et comment ses ami-e-s ont risqué-e-s leur vie à défendre les droits des LGBT en Ouganda. Universel.
- Frauensee, LE film allemand de cette édition. Un couple, la quarantaine, se retrouve à héberger un couple de jeunes lesbiennes en vacance. De quoi bousculer l'ordre établi ? Un film fait de tensions et désirs, 100% lesbien, avec une mise en situation – invitante mais pas si simple à gérer!- à ne pas manquer!
- Mosquita y Mari : une comédie romantique faisant mouche, sur le premier amour de Mosquita, fille et élève modèle. Cela vous rappelle quelque chose ?
Et n'oubliez pas la séance de courts lesbiens (« and the going is good », dont des histoires de chats – lesbiennes obligent ! - mais aussi de fantômes amicales nous susurrant « you're not alone »), ainsi que l'exposition mettant en avant deux artistes lesbiennes de Berlin et Paris (dont Emilie Jouvet de "Too much pussy") et bien sûre la Pink Night, une occasion de rencontrer de nouvelles personnes et de danser aux sons notamment de Lady Jane (Cat club) et Delphine van Kaatz (Mon cul , Ta praline).
Tout ça en plus de partager de bons moments cinématographiques, de discuter et de boire de bonnes bières pas chères. Que demander de plus ?
Alors n'hésitez pas à faire suivre, ni à réserver vos tickets."
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